Théâtre  Espace Sourire    11 rue Commandant Joseph Perceval à Chambéry - Savoie

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« Une soupe pour un sourire »


Gilbert Coudurier et Ludivine Cueille avec la Cie Cyranophile et l’Alerte-Gentianes ont ouvert un Resto éphémère et Solidaire pendant la semaine de Noël du 21 au 27 décembre au 11 rue commandant Perceval à Chambéry dans un local mis à disposition par la famille Coudurier.

Cet évènement baptisé « Une soupe pour un sourire » a largement été relayé dans les médias (Dauphiné libéré, France 3 Alpes, France bleu pays de Savoie, TVNet citoyenne). La participation des partenaires logistiques, sollicités en amont, fut une satisfaction pour Gilbert et Ludivine qui n’ont fait appel qu’aux dons matériels pour l’ensemble des besoins. Merci à ceux qui ont spontanément compris l’urgence du message de Coluche.

Un immense merci à vous les bénévoles des deux associations chambériennes qui avez donné de votre temps pour que l’accueil des oubliés de Noël soit le plus chaleureux possible. Et ce fut le cas, bien au-delà de nos espérances. Tout au long de la semaine, les rencontres se sont crées dans le respect et la dignité pour atteindre une intimité que l’on pourrait qualifiée de familiale. Je pense que cette proximité intense nous a tous changés un peu. Nous avons semé une graine, il reste à savoir comment l’arroser. Nos énergies cumulées ont toujours réussi à s’exprimer en dépit des aléas conjoncturels car elles ne sont motivées que par des valeurs humanistes.

Alors nous donnons rendez-vous à ces énergies, renouvelables, pour prolonger ce que nous avons entamé et donner un sens à cette action que tout un chacun a su mener dans le strict respect de ses convictions.


Gilbert Coudurier & Ludivine Cueille


reportage vidéo

EDITION  2019

La maison du Sourire en pain d'épice !

Cadeau de la compagne d'un ancien bénéficiaire

MERCI

EDITION

2018

Pour la deuxième année consécutive, "Une soupe pour un sourire" de l'Espace Sourire ne pourra pas ouvrir ses portes aux "oubliés de Noël " à cause des mesures coercitives et discriminatoires imposées par le gouvernement.

Au moment des fêtes de fin d'année, c'est un trou dans le tissu social qui, lui, s'ouvre. Cet évènement mobilisait bon nombre de bénévoles, avec une humanité conviviale et sincère, autour de l'art et la culture, dans un partage solidaire contaminant. Faisons en sorte que ce trou se referme l'année prochaine... peut-être.